Des jardins collectifs aux trames nourricières, les projets alimentaires et paysagers se multiplient. Forts de l'expérience de la SCOP SaluTerre, Franck David et Morgane Robert montrent que ces projets permettent de lutter contre la précarité alimentaire dès lors qu'ils sont co-construits avec les habitants.
: De nos jours, l'agriculture urbaine s'impose comme l'une des solutions à différents problèmes.
L’agriculture en ville ne se contente pas de nourrir, elle porte d’autres enjeux, sociaux et environnementaux, tout aussi importants, et s’avère être un pilier incontournable de la ville durable.
La question est centrale ! Cultiver ou élever sur de petites surfaces, en ville ou à proximité, n’est-ce pas anecdotique face à la demande alimentaire de populations citadines grandissantes ? Analyse.
En 2017, près de 41 millions de Français, soit 61 % de la population française, habitent dans des unités urbaines accueillant plus de 20 000...-sante
On l’imagine vertueuse et utile aux métropoles. Mais d’après une étude internationale menée par l’université du Michigan, publiée le 22 janvier dans Nature Cities, l’agriculture urbaine émettrait plus de CO2 que l’agriculture conventionnelle. Les chercheurs ont calculé les émissions de gaz à effet de serre liées aux matériaux et aux activités de l’exploitation pendant toute sa durée de vie. Résultat : les fruits et légumes cultivés dans les soixante-treize fermes et jardins urbains étudiés (…)
L'entreprise Agricool développe l'agriculture hors sol en zone urbaine. Un concept futuriste, qui impressionne autant qu'il questionne.