En Europe et en France, la voiture électrique et les mobilités douces gagnent en popularité. Selon une étude d'Ipsos publiée en 2024, les Français admettent utiliser moins fréquemment qu'avant leur voiture personnelle au profit du vélo, des transports et de la marche. Mais le manque de transports en commun en dehors des grandes villes se fait encore ressentir.

En matière de recharge pour les véhicules électriques, en Europe, la multiplicité des opérateurs complique singulièrement la vie des conducteurs, en raison de tarifications et de modes de paiement différents notamment. Quatre de ces entreprises, Atlante, Electra, Fastned et Ionit, se sont donc associées pour fluidifier l'acte d'achat. Dans ce nouveau réseau de 11 000 points de recharge et 1 700 stations, dans 25 pays, les automobilistes pourront désormais recharger leur véhicule et payer ce service avec leur application habituelle en bénéficiant de tarifs simplifiés et transparents.

Alors que les conclusions de la mission « contre les violences, protéger tous les usagers de la route » vont bientôt être dévoilées, les associations d'usagers du vélo avancent des solutions pour lutter contre les violences routières et « créer un environnement plus sûr pour tous ».

Lors de la Journée nationale du covoiturage la semaine dernière, l’ADEME et le Cerema ont révélé leur bilan chiffré. Les résultats ne sont pas très bons, même si les initiatives et solutions se développent.

La fin (pas encore actée, certes) des ZFE en dit long sur notre incapacité à tirer les récentes leçons de l'échec de bien des politiques publiques environnementales. Personne ne sort grandi de cet échec, mais tout le monde peut en tirer des leçons.