La crise du logement "ne s’est pas ralentie durant la séquence électorale que nous venons de traverser", écrivait l'Union sociale pour l'habitat (USH) le 10 juillet. Une semaine plus tard, l'Alliance pour le logement, qui réunit une dizaine de fédérations et acteurs du secteur, enfonçait le clou et demandait à "être reçue par le Premier ministre dès sa nomination, afin de relancer l’acte de construire à partir du projet de loi de finances 2025". Le constat, celui d'un secteur en panne, n'a rien de nouveau. Il avait alimenté nombre de débats tout au long de l'année dernière (voir en bas de page notre dossier de décembre 2023).