La crise du logement étudiant en France s’est intensifiée ces dernières années, nourrie par plusieurs facteurs structurels : autonomisation croissante des jeunes, dispersion des lieux d’études et augmentation continue du nombre d’étudiants. Cette pression accrue sur le marché locatif, déjà fragilisé par la hausse des prix de l’immobilier, a entraîné une réduction des options disponibles pour les étudiants, notamment dans les grandes agglomérations. La montée des loyers et la pénurie de logements accessibles ont précarisé une grande partie de la population étudiante, mettant en péril leur qualité de vie et leur santé mentale.