La guerre commerciale internationale, le contexte budgétaire national et les perspectives de croissance molle en France refroidissent les investisseurs institutionnels, dont l es rendements financiers issus de leurs logements acquis en bloc ont été effacés en partie ou en totalité par la rapide hausse des taux d’intérêt entre mi-2022 et mi-2023 . Et ce n’est pas l’instabilité politique, accentuée le 9 septembre dernier par la démission du gouvernement Bayrou, qui va changer la donne.